[les lycéens]« ont raison de s’inquiéter de leur avenir mais c’est un mensonge de leur faire croire que la question du lycée est une question quantitative »...« Ce n’est pas parce que l’on sera 100 de plus ou 100 de moins que les choses changeront » nous dit le ministre.
Mais avec « 100 » de moins, il faudrait quand même expliquer comment nous allons travailler autrement. Sinon, nous sommes dans un autre mensonge : celui de faire croire que le changement peut s’effectuer dans l’immobilisme et sans l’adhésion de ceux à qui l’on demande de changer.
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Dernière mise à jour : lundi 7 septembre 2015